Secteur dynamique, l’automobile offre de nombreuses opportunités internationales pour les entreprises françaises. Nous avons sélectionné 4 zones à fort potentiel pour l’export. Pour chacune d’elles nous vous invitons à découvrir un webinar présentant les marchés, identifiant les besoins et opportunités avec l’intervention d’experts locaux et d’entreprises françaises ayant réussi leur démarche export.
Le marché espagnol : une demande croissante de véhicules électriques
L'Espagne est le 2ème producteur automobile européen et 8ème mondial.
Le pays compte près de 17 usines de production sur son territoire détenues par 8 constructeurs mondiaux dont les 2 français PSA et Renault. Un tissu riche de près de 1000 équipementiers automobiles nationaux et internationaux sont également présents en Espagne.
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Le marché chinois : le boom des véhicules propres
Le secteur automobile en Chine est en pleine mutation. Les véhicules traditionnels ne répondent plus aux défis actuels du marché. Pour cette raison, en 2018, 1,25 million de véhicules propres ont été vendus en Chine, soit une croissance de 61,7% sur un an. Par ailleurs, 1,27 million de véhicules propres ont été produits l’an dernier en Chine. Cette dernière aspire à être leader de cette industrie. Ces évolutions de marché, combinés à notre expertise nationale, créer des opportunités à l’export pour les entreprises françaises.
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Les marchés polonais et roumain : secteur prioritaire pour les équipementiers et fournisseurs
Le dynamisme de ces deux marchés et la présence historique de nombreux acteurs globaux de l'automobile en font deux marchés prioritaires pour les équipementiers et fournisseurs :
- 600 équipementiers de tous rangs en Roumanie pour 200 000 emplois.
- 900 équipementiers en Pologne.
- Présence de nombreux constructeurs : Renault Dacia, Ford, PSA, Opel, Fiat, General Motors, Volkswagen etc.
- L’objectif de la Pologne : 1 million de véhicules électriques sur les routes polonaises d'ici 2025
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Nigéria, Cameroun, Sénégal et Côte d’Ivoire : des marchés en pleine transition
Côte d’Ivoire :
Présence de constructeurs et de 18 concessionnaires distribuant les plus grandes marques.
C’est le 1er marché du neuf de l’Afrique de l’Ouest francophone avec 11 400 unités écoulées en 2018.
La moyenne d’âge des véhicules est de 16 à 20 ans mais l’application de la nouvelle loi limitant l’âge des véhicules importés d’occasion à 5 ans devrait ouvrir de nouvelles perspectives.
Nigéria :
Présence de nombreux constructeurs
Près de 11,6 millions de véhicules en circulation
La marque Renault déjà présente dans les années 70 avec une usine de production, réouvre une usine d’assemblage cette année avec pour objectif de livrer 3500 véhicules par an et devenir une marque de référence sur le marché.
Sénégal :
Au Sénégal le transport routier demeure le principal vecteur de mobilité : plus de 90 % des besoins de déplacements des personnes et des biens sont assurés par ce type de transport.
Cameroun :
Le secteur automobile camerounais est très dépendant de l’import. En effet, hormis une usine d’autobus, il n’existe pas d’infrastructure de production de véhicules ou de pièces détachées dans le pays. Les véhicules d’occasion et les pièces détachées importées, viennent principalement de la Belgique, de l’Allemagne et de la France.
La volonté du gouvernement camerounais est de moderniser son parc automobile. Pour cette raison, de nouvelles réglementations fiscales ont été mises en place afin de favoriser l’importation de véhicules âgés de 1 à 10 ans. Ces mesures s’inscrivent dans un contexte social favorable où la classe moyenne, dotée d’un pouvoir d’achat relativement élevé, est grandissante.
Cette réglementation ouvre une opportunité à l’export pour les entreprises françaises.
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